La bonne nouvelle… il n’y a encore pas si longtemps un DRH devait convaincre du bien-fondé d’investir dans une politique QVT innovante et engageante.
…Aujourd’hui, avec l’effet combiné de la crise sanitaire, de tous les bouleversements qu’elle a impliqués, et l’arrivée sur le marché du travail de générations avec de nouvelles attentes, la RH n’a plus besoin de sortir son bâton de pèlerin et plus personne à chaque niveau de l’entreprise n’envisage de se cantonner à des actions cosmétiques sur le sujet.
La moins bonne nouvelle ou en tout cas celle qui questionne, c’est que les évolutions à l’œuvre challengent assez profondément les politiques QVT des entreprises, et plus largement leurs organisations, management et culture.
Citons quelques exemples de ces tendances que nous constatons dans nos enquêtes salariés et nos travaux de recherche :
- Une attention décuplée sur le sens au travail
- Une attente très forte de flexibilité et ce sur l’ensemble des composantes du travail (temps, lieux, contrats, missions…) et de liberté d’organisation
- Un fort besoin d’individualiser l’expérience de travail
- Un management challengé sur sa capacité à réenchanter le collectif et à maintenir la cohésion en mode hybride
- Une attente de développement des compétences en continu
A un moment où, dans quasiment tous les secteurs, la plupart des entreprises se retrouve sous tension en termes de recrutement et de fidélisation, investir les différentes dimensions de la QVT et repenser l’expérience collaborateurs en intégrant ces nouveaux paradigmes est tout sauf optionnel.
Accompagner les entreprises pour désigner le futur du travail et proposer de nouvelles expériences de travail aux managers et collaborateurs dans l’ensemble de ces dimensions, c’est notre moteur chez Obea.
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Muriel Sabine – Hyppolite Stéphanie Baumgertner Ursula Schaeffer